Íñigo López de Loyola, francisé
en Ignace de Loyola (né le 24 décembre 1491 note 1 à Azpeitia dans
le Pays basque espagnol et mort le 31 juillet 1556 à Rome) est le fondateur et
le premier Supérieur général de la Compagnie de Jésus — en latin abrégé SJ pour
Societas Jesu — congrégation catholique reconnue par le pape Paul III en 1540
et qui prit une importance considérable dans la réaction de l'Église catholique
romaine aux XVIe et XVIIe siècles, face à l'ébranlement causé par la Réforme
protestante.
Auteur des Exercices spirituels,
il fut un extraordinaire directeur de conscience. La spiritualité ignatienne
est l'une des principales sources d'introspection religieuse dans le
catholicisme. À la tête des Jésuites, il devint le fer de lance de la lutte contre
le protestantisme et un ardent promoteur de la Réforme catholique, aussi
appelée Contre-Réforme. Il orienta sa congrégation vers l'œuvre missionnaire,
en particulier vers les Indes et la Chine. Il a été canonisé par le pape
Grégoire XV le 12 mars 1622. Sa fête est célébrée le 31 juillet.
Courte présentation de Saint Ignace
La vie de Saint Ignace
1 - La
formation d’Ignace
Eneko (Íñigo en castillan) est né
dans le château de Loyola dans la commune d'Azpeitia, à 25 kilomètres au
sud-ouest de Donostia-San Sebastián dans la province du Guipuscoa, au Pays
basque (Espagne). Son nom, Iñigo, vient de Saint Enecus (Innicus), père-abbé
d'Oña; le nom Ignatius fut pris plus tard lorsqu'il résidait à Rome1.
Dernier né d'une fratrie de 13
enfants, Ignace grandit au sein d'une famille de la petite noblesse basque,
alliée traditionnelle de la maison de Castille. Il a seulement 7 ans quand sa
mère, Marina Sáenz de Licona y Balda, meurt et il noue une relation forte avec
son père, don Beltrán Yáñez de Oñaz y Loyola. Il connaît l'éducation du grand
siècle espagnol qui éclot en cette fin du XVe siècle.
Orphelin de père à quinze ans,
Ignace quitte Loyola et devient page à la cour de Ferdinand d'Aragon en 1506
puis, devenu gentilhomme adulte, il exerce la fonction de secrétaire au service
d'un parent de sa mère, Juan Velázquez de Cuéllar, trésorier général (contador
mayor) de la Reine de Castille, Isabelle la Catholique. Il mène pendant dix ans
une vie de Cour, comme il le dit dans son Autobiographie : Jusqu'à la
vingt-sixième année de sa vie, il fut un homme adonné aux vanités du monde et principalement
il se délectait dans l'exercice des armes. Il se lie avec la princesse
Catalina, sœur de Charles Quint, séquestrée par sa mère Jeanne la Folle à
Tordesillas2.
Ignace soldat, portrait d'époque |
La conversion
Durant sa convalescence, faute de
trouver les célèbres romans de chevalerie du temps5, il lit de
nombreux livres religieux comme une Vie de Jésus de Ludolphe le Saxon en quatre
volumes ou la Légende dorée de Jacques de Voragine, richement illustrée6 qui
narre les faits et gestes de saints. Dans un mélange de ferveur et d'anxiété,
il voit en songe lui apparaître « Notre-Dame avec le Saint Enfant Jésus », il
rejette « sa vie passée et spécialement les choses de la chair7 ».
La Vierge de Montserrat, Vierge Noire en bois du xiie siècle |
Mais, meurtri par son voyage, ses
blessures mal cicatrisées, l'ascèse, et certains diront bloqué par la peste qui
sévit à Barcelone, d'autres pour éviter le cortège du nouveau pape Adrien VI
qui se rend de Madrid à Rome9, il passe plusieurs mois dans une
grotte près de la ville de Manresa (Manrèse en français) en Catalogne ou il
pratique le plus rigoureux ascétisme.
Il mène jusqu'au début de 1523
une vie d'ermite au cours de laquelle il commence la rédaction de ce qui
deviendra les Exercices spirituels. Depuis sa « conversion », Ignace avait pris
l'habitude de consigner dans des carnets, les extraits les plus frappants des
textes qu'il lisait. Lors de son séjour à Manrèse, il prend l'habitude de
consigner ses expériences dans un cahier, une sorte de journal intime qui
deviendra l'un des livres clés de la spiritualité ignatienne.
Le pèlerinage en Terre sainte
Il prend alors comme « pèlerin de
Dieu » la route de la Terre sainte et, le 20 mars 1523, embarque pour l'Italie.
Béni à Rome par le pape Adrien VI, il continue son périple jusqu'à Venise, et
parvient à Jérusalem, où il ne reste que trois semaines en septembre 1523,
avant d'être prié par les frères franciscains de quitter le pays. À nouveau en
Italie, traversée par les armées espagnoles et françaises, il se retrouve à
Venise et se convainc de l'absolue nécessité d'étudier pour enseigner. Après la
méthode religieuse mise au point dans les Exercices, la conviction du rôle des
études va être une autre des caractéristiques du futur projet jésuite10.
Il est de retour à Barcelone en mars 1524.
Les études
Façade du collège San Ildefonso à l'université d'Alcalá (1543) |
fin de 1527, encouragé par Alonso de Fonseca, archevêque de Tolède, il rejoint la plus prestigieuse de toutes : l'université de Salamanque. Mais les attaques vives qu'il subit en particulier de la part de l'Inquisition et des dominicains le décident à se rendre à Paris en février 1528, ou il vivra durant sept ans.
Ses progrès dans la compréhension
des mécanismes de l'enseignement et sa capacité à dominer intellectuellement y
compris plus érudit que lui par l'usage du « discernement », le distinguent.
Mais sa personnalité rigoureuse et entière et son attitude réformatrice lui
créent de nombreux ennemis. À Barcelone, il est battu très sévèrement, et son
compagnon tué, sur l'instigation de notables vexés de ne plus être admis dans
un couvent qu'Ignace avait récemment réformé. À Alcalá, un inquisiteur, le
grand vicaire Figueroa, le harasse constamment le soupçonnant d'illuminisme,
allant jusqu'à l'emprisonner pendant quelques semaines12. À Paris,
ses épreuves furent variées, pauvreté, maladie, œuvres de charité, discipline
du collège, particulièrement sévère dans celui de Montaigu, où il résida, car
trop pauvre et ignorant avant de rejoindre celui plus « libéral » du Collège
Sainte-Barbe, où il fut accusé publiquement par Diego de Gouvea, recteur du
collège, d'enfreindre les règles mais il se défendit vigoureusement et obtint
des excuses publiques.
À l'Université de Paris, Ignace
se retrouve « dans le chaudron de la Renaissance », au cœur de ce que Jean
Lacouture appelle la décennie prodigieuse qui débute en 1525 avec la polémique
entre Érasme (De libero arbitrio) et Luther (De servo arbitrio), puis la
création du collège de France en 1530, la parution du Pantagruel de Rabelais
(1532) ou enfin la publication de l’Institution de la religion chrétienne de
Calvin (1536)13. Il est reçu maître ès arts le 13 mars 1533. Pendant
ce temps, ayant débuté ses études de théologie, il est licencié en 1534, mais
il ne peut être reçu docteur, ses ennuis de santé le conduisant hors de Paris
en mars 1535.
2 - La
création de la Compagnie de Jésus
Le vœu de Montmartre
Église Saint-Pierre de Montmartre, XIIè |
Montmartre à l'époque d'Ignace |
Le 15 août 1534, à l'issue de la
messe célébrée à Montmartre dans la crypte Notre-Dame par Pierre Favre, ordonné
prêtre trois mois auparavant, les sept prononcent les deux vœux de pauvreté et
chasteté et le troisième de se rendre dans les deux ans à Jérusalem pour y
convertir les infidèles, à la fin de leurs études.
Ils furent ensuite rejoints par
Claude Le Jay, un autre Savoyard de Genève et deux Français : Jean Codure et
Paschase Broët. Unis par le charisme d'Ignace, les nouveaux amis décident de ne
plus se séparer.
La fondation de l’ordre
Après avoir quitté Paris, il se
rend six mois en Espagne puis à Bologne, où incapable de se remettre aux
études, il se consacre à des œuvres de charité attendant que ses 10 compagnons
rejoignent Venise (6 janvier 1537) sur la route de Jérusalem. Mais la guerre
avec les Turcs les empêche de poursuivre. Ils décident de reporter d'un an leur
engagement, après quoi ils se mettront à disposition du pape. Ignace de Loyola,
comme la plupart de ses compagnons est ordonné prêtre à Venise le 24 juin 1537.
Ils partent ensuite dans des villes universitaires voisines, Ignace avec Pierre
Favre et Laynez prennent en octobre 1537 la route de Rome. Ignace, en vue de la
ville, au lieu-dit la Storta, a une vision de Dieu s'adressant à lui après
l'avoir placé aux côtés du Christ : « Je vous serai propice à Rome »14.
Le pape Paul III approuve la création de la Compagnie de Jésus en 1540 |
À Rome, capitale des États
pontificaux, Alexandre Farnèse venait en 1534 d'être élu pape, sous le nom de
Paul III. Il règne sur une capitale en crise, à peine remise du sac de Rome par
les troupes de l'empereur en 1527, en butte à la corruption généralisée et
siège d'une église en crise, profondément ébranlée par la fulgurante
progression de la Réforme. Paul III semble rapidement voir tout le profit à tirer
de cette nouvelle société de prêtres savants, rigoureux, intègres et d’un
immense volontarisme réformateur. En novembre 1538, Paul III, après de nombreux
contacts avec Lainez, reçoit Ignace et ses compagnons venus faire leur «
oblation » au pape. Celui-ci leur ordonne de travailler à Rome qui sera leur
Jérusalem15. Dès lors, s'ébauche la Compagnie de Jésus ou Ordre des
jésuites.
Approbation des statuts de la Société de Jésus: Ignace de Loyola reçoit la bulle Regimini militantis Ecclesiae des mains du pape Paul III. Fresque peinte par Johann Christoph Handke dans l'église de Notre-Dame des neiges à Olomouc après 1743. |
Malgré quelques oppositions à la
Curie, la création de la Compagnie de Jésus est acceptée par le pape Paul III
le 27 septembre 1540, dans sa bulle Regimini militantis ecclesiae, qui reprend
la formula instituti tout en limitant le nombre de profès17 à
soixante. Cette restriction fut rapidement éliminée lors de la promulgation de
la bulle Injunctum nobis du 14 mars 1543.
Le 22 avril 1541, Ignace est élu,
en dépit de ses réticences, premier supérieur général de la Compagnie de Jésus
puis il fit avec ses compagnons, sa profession dans la basilique
Saint-Paul-hors-les-murs18. L'Ordre est dès lors constitué.
En 1542 Ignace fonde la Maison Sainte Marthe pour accueillir
et réinsérer des personnes prostituées. Il doit défendre sa fondation contre
les diffamations. Il va de par les rues de Rome pour recruter des candidates
sur les lieux de prostitution d'alors. Contrairement aux couvents de repenties,
il laisse le choix aux personnes prostituées de se marier19.
3 - Les
débuts de la Compagnie jusqu'à la mort
La structuration de l’Ordre
Ignace fut chargé en 1541 de mettre
au point les règles d'organisation de la nouvelle compagnie, les Constitutions,
mais il ne commença pas les travaux avant 1547, introduisant progressivement
des coutumes, destinées à se transformer à terme en lois. En 1547, Juan de
Polanco devint son secrétaire, et avec son aide, il réalisa un premier jet des
Constitutions entre 1547 et 1550, tout en sollicitant simultanément
l'approbation pontificale de réaliser une nouvelle édition de la Formula
Instituti. Le pape Jules III l'accepta dans la bulle Exposcit Debitum, le 21
juillet 1550.
Les 10 premiers compagnons, François-Xavier est au centre en haut |
Sous le nouveau général Jacques
Lainez, la Congrégation générale de la compagnie décida d'imprimer le texte
qui resta tel quel jusqu'aux modifications introduites par la XXXIVe
Congrégation en 1995.
Il envoya ses compagnons comme
missionnaires en Europe pour créer un réseau d'écoles, de collèges et de
séminaires. Juan de Vega, l'ambassadeur de Charles Quint à Rome y avait connu
Ignace. L'estimant énormément ainsi que ses jésuites, quand il fut nommé vice-roi
de Sicile, il y attira ceux-ci. Un premier collège fut fondé en 1548 à Messine;
il eut rapidement un grand succès et ses règles et méthodes furent ensuite
reproduites partout.
Parallèlement à la Compagnie de
Jésus, Ignace fonde à Rome en 1547, la Compagnie du Saint-Sacrement de l'Église
des douze Apôtres autour d'un groupe de laïcs20.
La postérité d’Ignace
À sa mort, le 31 juillet 1556 à
Rome, la Compagnie de Jésus compte déjà plus de mille membres répartis dans
douze Provinces, soixante-douze résidences et soixante-dix-neuf maisons et
collèges.
Béatification et Canonisation
Masque mortuaire de Saint Ignace |
Ignace de Loyola fut béatifié le 19 avril 1609, jour de
Pâques (l'annonce en avait été faite le 3 décembre de l'année précédente)21. Il est canonisé le 12 mars 1622,
en même temps que François Xavier et Thérèse d'Avila.
4 - La
spiritualité ignatienne
Les Exercices spirituels sont un
ouvrage de méditation et de prière qui est considéré comme le chef-d'œuvre
spirituel d'Ignace de Loyola à partir de sa propre expérience spirituelle,
vécue notamment à Manrèse. Tout l’enseignement d’Ignace de Loyola, est orienté
vers le discernement, car pour lui, toute décision humaine est le lieu d’une
rencontre avec le Seigneur. Le livre fait environ 200 pages. Il veut être le «
livre du maître » qui guide l'accompagnateur spirituel lors d'une retraite
d'environ 30 jours.
Les méditations ont été écrites de manière à refléter
authentiquement la spiritualité catholique, mais l'accent mis sur la rencontre
personnelle entre le retraitant et Dieu attire aussi des chrétiens d'autres
confessions.
Vidéo de présentation
Qui cherche trouve
5 - Œuvres
d'Ignace de Loyola
Saint Ignace n’est pas un « grand
écrivain », au sens où on l’entend habituellement. Ses écrits sont fonctionnels
(direction spirituelle ou gouvernement de la Compagnie) ou personnels (journal
spirituel). Une édition critique de l’ensemble de ses écrits se trouve dans les
MHSI: les Monumenta Ignatiana (22 volumes).
Les Exercices spirituels
Les Exercices spirituels
proposent des méditations et contemplations organisées en quatre semaines,
permettant un progrès dans la compréhension de soi-même et des mystères de la
vie du Christ pour les assimiler. Pour chaque méditation, seuls quelques
‘points’ sont donnés, chaque fois avec beaucoup de sobriété. Dans l’esprit de
Saint Ignace les ‘exercices spirituels’ sont toujours faits avec un guide dont
le rôle doit être cependant effacé car «il doit laisser le Créateur agir sans
intermédiaire avec la créature [retraitant], et la créature avec son Créateur
et Seigneur» (ES, N°15)
·
Exercices spirituels, introduit par François
Courel, Paris, DDB, 1963
Les Exercices Spirituels
Durée : de 7 à 30 jours
Le Journal spirituel
Il s'agit d'un journal intime
strictement personnel tenu dans les années 1544 et 1545 où il note
quotidiennement les mouvements intérieurs de son âme durant et suivant la
célébration de la messe (expériences de consolations et désolations). Seule une
partie de ce journal nous est parvenue. Ce cahier fut publié pour la première
fois au xixe siècle.
·
Journal des Motions intérieures, édité par
Pierre Antoine Fabre, Lessius, 286p, 2007
L’Autobiographie
Signature de Saint Ignace |
Le Récit du pèlerin (c’est ainsi
qu’Ignace s’identifie dans ce récit) est l'histoire autobiographique d'Ignace
de Loyola tel qu'il l'a racontée, entre 1553 et 1555, à un autre jésuite, le
père Luis Gonçalvès da Câmara. À la fin de sa vie, il répondait ainsi à la
demande de plusieurs compagnons qui désiraient obtenir un testament spirituel
en forme de récit. Ignace a longtemps hésité avant de raconter son histoire,
même s'il l'avait promis dès 1551. Selon Louis Gonçalvès da Câmara, c'est le 4
août 1553 qu'Ignace prit la décision de réaliser sa promesse. Après une
conversation sur le thème de la vaine gloire, relate le père da Câmara, « alors
qu'il mangeait avec Juan de Polanco et moi, notre Père dit que bien souvent
Maître Nadal et d'autres de la Compagnie lui avaient demandé une chose et qu'il
ne s'y était jamais décidé ; mais que, après avoir parlé avec moi et s'être
recueilli dans sa chambre, il avait eu une grande dévotion et inclination à le
faire et s'y était totalement décidé ». Ce texte fut ensuite maintenu dans les
archives pendant 150 ans, jusqu'à ce que les bollandistes le publient dans les
Acta Sanctorum.
Les Lettres
6815 lettres et instructions sont connues, écrites par
lui-même ou - en son nom - par son secrétaire, Juan de Polanco. Lettres de
direction spirituelle (la plus ancienne date de 1524) et de gouvernement,
d’encouragement et de réprimande. Instructions pour ceux qui vont fonder un
collège ou participer au concile de Trente. Ces lettres sont adressées à des
compagnons jésuites, personnages importants, bienfaiteurs de la Compagnie, ou
encore parents de novices, fils ou filles spirituelles.
·
Sélection de Lettres, commentées par Gervais
Dumeige, Bruges, DDB, 1959
Les Constitutions
Les Constitutions forment le
premier texte législatif fondamental de la Compagnie de Jésus, préparé avec
l’aide de Juan de Polanco et revu régulièrement à la lumière de l’expérience
des premiers jésuites. À strictement parler, Loyola n’en est pas l’auteur car
il laissa à la première congrégation générale (réunie en 1558, après sa mort)
le soin de les promulguer.
·
Constitutions de Saint Ignace de Loyola (avec
les ‘Normes’ de la CG34), Paris, 1997
Emission KTO sur Saint Ignace de Loyola
Notes
1↑ Sa date de naissance a prêté à
controverse. Selon l'Autobiographie, cette date serait 1495. Mais si l'on en
croit sa nourrice interrogée par les enquêteurs de la Compagnie après sa mort,
il s'agit bien de 1491, date confirmée par le fait qu'il signe en 1507 des
actes après la mort de son père - la limite légale de signature étant fixée à
16 ans. - Lacouture T1 p. 15. Plutôt que le 24 décembre, WP polonaise mentionne
la date du 25 octobre.
Références
1. ↑ Catholic
Encyclopedia, notice biographique Ignatius de Loyola, 1913
2. ↑ Lacouture,
T. 1, p. 17
3. ↑ Catholic
Encyclopédia
4. ↑ Lacouture,
T. 1, p. 21
6. ↑ A.
Guillermou, St Ignace de Loyola, p. 15
7. ↑ autobiographie
p. 49
8. ↑ A.
Guillermou, St Ignace de Loyola, p. 17
9. ↑ A.
Guillermou, p. 19
10. ↑ Lacouture,
p. 35
11. ↑ Lacouture,
p. 37 ; les alumbrados sont les illuminés, empreints de mystique, liés à
la réforme franciscaine et les conversos sont les juifs ayant en 1492 choisi
d'opter pour le catholicisme
12. ↑ deux
mois pour l’Encyclopedia, 17 jours pour Lacouture
13. ↑ Lacouture,
p. 50 à 52
14. ↑ Lacouture,
p. 93, témoignage de Diego Lainez
15. ↑ Lacouture,
p. 96
16. ↑ (en) St. Ignatius de Loyola and the Early Jesuits [archive] de Stewart Rose, The Catholic Publication
Society, New York, 1891, pp. 263-264.
17. ↑ Prêtre
jésuite ayant prononcé l'ensemble de ses vœux
18. ↑ Catholic
encyclopedia
19. ↑ « Ignace de
Loyola et les courtisanes » [archive], Charles
Chauvin ; Prostitution et Société, 1991.
20. ↑ Alain Guillermou, Les
Jésuites, PUF 1961 réed. 1992 p. 16
21. ↑ Adrien Baillet, Les
vies des saints composées sur ce qui nous est resté de plus authentique et de
plus assuré dans leur histoire, volume 10, 1739, 400 pages ; page 393.